WHAT DOES VêTEMENTS ALGéRIENS MEAN?

What Does Vêtements algériens Mean?

What Does Vêtements algériens Mean?

Blog Article

Les costumes traditionnels des villes intérieures, proches d'Alger : Blida, Médéa et Miliana, se rattachent au modèle algérois[22]. La qualité des broderies sur toile et sur cuir blidéennes révèle l'existence de traditions vestimentaires raffinées. En revanche, les habitantes de Blida portent le haik de manière différente. Fidèles au costume de sortie de leurs ancêtres andalouses, elles continuent de le ramener sur le visage de manière à ne découvrir qu'un seul œil[19].

Le karakou algérien est un vêtement marqué par un riche travail d’artisanat, notamment ses procedures de broderie et le choix de matériaux précieux. Sa conception révèle un savoir-faire méticuleux transmis à travers les générations.

Tout d'abord, pour habiller les Algéroises des hautes lessons, tandis que les femmes de la classe moyenne ont uniquement le droit de se vêtir de la fameuse "ghlila".

Village des Aurès, dans les années 1930. Difficile d'accès, le massif des Aurès se distingue par la permanence de formes vestimentaires et de parures vernaculaires peu effectées par les influences étrangères[80]. Ainsi, le péplum à fibules, appelé elhaf, perdure dans les villages de l'Aurès moreover longtemps que dans les autres régions montagneuses de l'Algérie[80].

few en costumes algériens au XIXe siècle. Les costumes citadins brodés, au fil d'or et parés de somptueux bijoux en or, se répartissent sur la frange septentrionale du pays[two] : à l'Est autour de Constantine et d'Annaba où la djoubba, sous le nom actuel de gandoura se maintient, et à l'Ouest autour de Tlemcen et d'Oran dont le costume féminin est resté le additionally fidèle au costume levantin ; la chachia, le caftan et les vestes djabadouli et karakou sont toujours portés lors des cérémonies[four].

La ville de Tlemcen abrite un centre d'interprétation du costume traditionnel algérien, situé au palais El Mechouar[146].

Il est appelé Elfouta qui couvre le corps de la taille jusqu’aux jambes. Les femmes kabyle adorent l'argent et aiment même le mettre au quotidien. Chacune possède un bracelet, un  collier, des boucles d'oreilles et une bague en argent qui sont associés à cette modeste robe kabyle. La robe kabyle (Thakandourth- nl -Kvayel ) porte beaucoup de noms selon la région dont elle fait partie, tel que Thakandourth Iwadayen qui se réfère à la région Wadiya à Tizi Ouzou. Pendant chaque mariage (cérémonie de henné), les femmes portent la robe kabyle et les hommes mettent le Barnous qui est fait à la principal avec la laine des moutons. Dans certaines régions, les personnes âgées le portent encore tous les jours, surtout en hiver pour se réchauffer. 

En in addition de la paire de trembleuses “Raacha”, élément décoratif au-dessus de la coiffe, de multiples colliers se portent avec ce costume de circonstance more info en usage dans les régions à impact andalouse et ont des ressemblances observées sur la Tagrifa mestghanemia, de l’autre ville de l’Ouest qu’est Mostaganem, mais dont la coiffe est toute autre, explique le chercheur.

Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce web-site.

Un chef tribal du Constantinois au début du XIXe sièclen en veste djabadouli et burnous. À Constantine, parmi les pièces de l'habillement ancien chez le hommes, les gandoura ou dorrâa, burnous et haïk sont les principaux vêtements ayant subsisté jusqu'à nos jours après avoir subi quelques transformations[a hundred twenty five].

Les karakous arborent une palette de couleurs riche et variée, chaque couleur offrant une symbolique propre. Les in addition fréquemment utilisées sont:

Si vous n'êtes pas enthusiast des différentes jupes et robes, c'est le choix à faire ! Effectivement c'est la manière originale de se vêtir de façon stylish et élégante. 

Le Karakou algérien, au-delà de son facet culturel, joue un rôle significatif dans l’autonomisation des femmes et la dynamisation de l’économie locale.

L'établissement de la formule moderne de la tenue traditionnelle constantinoise reste l'œuvre de Fergani, c'est pourquoi elle lui doit son nom actuel, djebbet fergani (djoubba de Fergani). Cette robe persiste et impact l'évolution des costumes féminins de toute l'Algérie orientale[67].

Report this page